Lieux insolites

Paimpol insolite

Voyante Paimpol insolite

Paimpol insolite

La fin du choléra

Voyante Paimpol insolite

Paimpol insolite est en lien avec le culte marial remonte à une époque lointaine. Dans l’église, édifiée en 1914 par l’architecte Guerranic pour remplacer l’ancienne église, jugée trop sombre dont il ne reste que la tour.Deux tableaux proviennent de l’Abbaye de Beauport. Le premier représente Saint Augustin montrant la règle à Saint Norbert, l’autre représente la “Cène”.
On y vénère Notre Dame de Bonne Nouvelle, patronne des marins dont le pardon se célèbre le 2° dimanche de décembre. En 1832, il est dit que c’est Elle qui a mis fin, à la suite de prières collectives qui lui furent adressées, à l’épidémie de choléra.

A la recherche du passé, de l’avenir, du temps présent ?

Vous êtes sur le site d’une Médium Voyante, Catherine d’Auxi, passionnée d’histoire et amoureuse de la Bretagne. Cela justifie pleinement les recherches historiques mais également la “prise énergétique” locale. Je vais sur les lieux que je présente et étudie, en témoignent les photos…

Paimpol insolite c’est en lien avec l’histoire de la pêche à la morue

Voyante Paimpol insoliteTerre-Neuve est la destination dès le 15° siècle des goélettes partant de Paimpol. Mais c’est entre 1852 et 1935, lorsque les armateurs paimpolais abandonnent Terre-Neuve pour aller pêcher en Islande, que le port se développe.

Les goélettes avec 20 hommes environ, partaient de Paimpol fin février, pour rejoindre l’Islande (au Sud et à l’Est de l’île) après une traversée d’environ 10 jours. Elles rejoignaient l’Ouest et le Nord de l’île pour suivre les poissons.

Les « Islandais », comme on appelait ces pêcheurs, balançaient leurs lignes du bord du bateau. Une fois les cales remplies, le poisson était chargé sur un bateau « convoyeur » pour ramener la cargaison en France tandis que les pêcheurs, après une courte escale en Islande (créant des liens encore vivants aujourd’hui entre la France et certains port des fjords de l’est de l’Islande), repartaient en mer.

A cette époque, Paimpol était l’un des principaux ports de cette pêche, armant  plus de 80 goélettes en 1895. Cette pêche endeuilla la population (environ 100 goélettes et 2000 vies perdues pendant la Grande Pêche). Elle fut la cause d’une grande misère (les femmes des marins devaient vivre seules avec les enfants pendant les 6 mois que durait la pêche avant le retour du mari … quand il revenait). Cette épopée a inspiré Pierre Loti pour son roman « Pêcheur d’Islande » et le chansonnier Théodore Botrel pour sa chanson « La paimpolaise » (qu’il écrivit s’en s’être jamais rendu à Paimpol).

Moulin de Craca – baie de Paimpol (commune de Plouézec)

« Vers moi le vent du large glisse, avec les cris des goélands précurseurs de la tempête, l’appel des marins qui suivent, d’un œil aigu, les jeux déconcertants des flots… »

Voyante Paimpol insoliteTourné vers la terre pour moudre le grain des plouézecains et vers la mer pour guider les navires, ainsi s’exprimait en 1926 sous la plume d’Arthur Bagot, le moulin de Craca dans sa causette avec les moulins de Kerarzic et de Sainte-Barbe qui tous trois dominaient la baie de Paimpol. Il est en effet situé à 80 mètres de la mer et à 65 mètres d’altitude. Haut de 11 mètes et d’un diamètre maximum de 5,75 mètres, c’est un “petit” moulin typique de la région du Trégor. En 1848, 103 Tonnes de céréales étaient écrasées par les meules dont 34 de froment, 10 de blé noir, le reste étant du seigle, de l’orge, de l’avoine. Le meunier était alors aidé de 2 ouvriers. L’année suivante le père Cozanet, dernier meunier, fermait définitivement les porte du Moulin de Craca en activité depuis 1844 et ce n’est que 66 ans plus tard que la commune de Plouézec a acheté la ruine pour la restaurer et donner vie au vieux moulin. Il aujourd’hui un des rares moulins à vent en état de fonctionnement et capable de produire de la farine sur la côte nord de la Bretagne. Le moulin a été réhabilité par les « amis du Moulin de Craca ». Lorsqu’il a été acquis, il n’y avait plus ni toit, ni solidité de la tour. Bien qu’il paraisse être couvert en ardoises, c’est en bardeaux de châtaigner (environ 5.000) qu’est réalisé le toit. C’est en 1999 qu’il a rempli sa fonction première, moudre du grain.

Si Paimpol vaut le détour…

La magnifique Côte de granit rose aussi. C’est là que vous me trouverez. Des consultants viennent me voir de tous les coins du globe, Québec, Paris, Berlin, Malte, Toulouse, Dijon, plus près Bordeaux, Nantes, La Roche sur Yon, Lorient, Loudéac, ou encore Brest…

A très bientôt pour une consultation de Voyance avec l’auteur de l’article, Catherine d’Auxi Voyante, Médium et Cartomancienne.

 Catherine d’Auxi – Droits réservés (copyright)

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