psychoésotérisme

Syndrome du voyageur

Syndrome du voyageur

Que disent les psychiatres ? Le syndrome du voyageur est un trouble, généralement passager, que rencontrent certaines personnes confrontées à certains aspects de la réalité du pays visité, par exemple l’abondance d’œuvres d’art, de symboles religieux, etc. Il est caractérisé par un certain nombre de symptômes comme des hallucinations, un sentiment de persécution, de l’anxiété, et également des troubles à expression corporelle comme des vertiges, de la tachycardie, des sueurs,… Plusieurs syndromes du voyageur ont été décrits, dans différents contextes, avec des sources plus ou moins importantes.

Cependant, une piste n’a pas été explorée par les scientifiques (et pour cause), c’est celle des vies antérieures et du “catapultage” d’énergies. Aller dans un lieu où on a déjà vécu, dans une autre vie, réveille la mémoire énergétique corporelle et déclenche souvent des vertiges, de la tachycardie et des fourmillements dans les mains.

En effet, ces événements extérieurs qui peuvent faire faire “monter” notre niveau d’énergie corporelle (un peu comme une poussée de température) sont de visiter un lieu déjà connu ou d’avoir contact avec une réalité antérieure. Une seule solution à ce moment, se poser, se calmer, s’asseoir et attendre. Surtout ne pas ajouter de stress car cela ne ferait qu’aggraver les effets secondaires. Ce n’est pas parce qu’on ne comprend pas qu’il ne se passe rien, c’est plutôt l’inverse, il se passe quelque chose auquel on ne peut rien comprendre.

Ces endroits visités ont cependant un grand avantage, ils permettent d’augmenter le taux énergétique individuel de manière considérable. C’est comme une évolution spirituelle induite et non maîtrisée, c’est bien la raison pour laquelle nos Anges-Gardiens ont tellement à cœur de nous emmener sur des lieux d’autres incarnations.

C’est un phénomène que j’ai constaté à maintes reprises avec une acuité plus ou moins forte. La première fois que cela m’est arrivé, je n’ai même pas pu entrer dans le lieu concerné, je suis restée assise à l’extérieur sur un banc. Revenue quelques mois plus tard en compagnie de mon mari qui possède lui-même un taux énergétique très élevé, j’ai pu entrer, visiter et « reconnaître » le lieu. Je m’y suis immédiatement sentie chez moi.

Si vous avez déjà ressenti de tels symptômes et que vous souhaitez comprendre leur véritable origine, n’hésitez à m’en parler.

Catherine d’Auxi – Médium Voyante Cartomancienne (cliquez sur le nom pour visiter le site de voyance)

Les traumatismes bienheureux du voyageur (suite spirite de l’article sur le syndrome du voyageur)

En approche Spirite, il y aurait pour nos « Anges-Gardiens » au moins deux bonnes raisons de fréquenter un endroit à charge émotionnelle rétroactive, la première, serait de « choquer » l’individu afin qu’il se connecte plus intensément avec sa supra-conscience* et l’autre raison, serait de croiser/décroiser certains neurotransmetteurs via la chaîne sympathique…  et plus particulièrement l’acétylcholine** dont les propriétés sont de favoriser l’influx nerveux sur les organes.

Ce que cela veut dire ? Je ne suis pas spécialiste mais il semble que le système sympathique du corps humain soit mis à contribution afin de reprogrammer via les neurones, quelques pans biologiques défaillants ou en passe de l’être ainsi que de stimuler principalement des organes vitaux.
C’est peut-être à mettre en corrélation avec certains « traumatismes spirituels » soudains dans un lieu de culte ou dans des endroits à apparitions, tels pour nous en France, Lourdes, il y en a d’autres.  Ce qui m’est expliqué, c’est que la raison d’être lié à ce choc des « lieux déjà fréquentés voire surfréquentés » a principalement ces deux vertus. Dans l’idéal, il faudrait une analyse médicale à court ou moyen terme sur un Sujet X avant et après ce choc mais la personne n’en est guère avertie.

Le Syndrome du voyageur est-il une tentative d’espérance ou désespérée de l’esprit incarné de se soigner par lui-même et ce dans un lieu considéré, par et pour lui, comme magique, un lieu très difficile à quitter ensuite, (syndrome du cocon ?). Nous recherchons toujours l’intensité via les choses que nous faisons au quotidien, dès lors, pourquoi ne pas émettre l’idée que nous sauvegarderions en une mémoire céleste, spatiale, ces lieux qui sont utiles à notre santé, notre survie, car propices aux réparations physiologiques combinées ou pas, à la réalisation d’une dimension extracorporelle. (Supraconscience ?). Dans les deux cas, on comprendra le mot « choc ».

Quant à la dépression qui peut suivre une expérience liée au syndrome du voyageur, elle serait due à la biochimie du Sujet et à son regard transversal inconscient sur lui-même ; Pas de traumatisme sans quelques effrois. On pourrait potentiellement conclure qu’il y aurait une prise de risques à une telle manœuvre même pour les lieux spirituels forts (désir de mourir dans la félicité + crise cardiaque par exemple)…

Tout est dans le titre, le mot « voyage » est à comprendre dans le sens métaphorique des différents niveaux de conscience, les Esprits Anges-Gardiens ayant toujours à cœur de maîtriser autant que possible la stabilité de l’action. Voyager n’est jamais sans conséquence, nous nous conduisons sur la terre en tous cas sous l’influence de la cosmicité, pourquoi aller-là plutôt qu’ailleurs ? Finalement, souvent, nous en comprenons le sens qu’une fois revenu à notre point de départ.

Dans l’expression : « les voyages forment la jeunesse » est induit aussi cette interprétation : « les voyages reforment la santé »… ou pas.

Le syndrome du voyageur, c’est, à l’état pur, de la fascination, mot qui vient du latin classique «  fascinatio », enchantement, charme, si on ne parle pas de Magie là, alors de quoi parle-t-on ?

Esotériquement Vôtre,

Yann d’AuxiMédium Spirite (cliquez sur le nom pour visiter le site de voyance).

*Parapsychologie : Conscience incluant l’inconscient, le subconscient. Puis vient la découverte par l’homme de l’autre côté du miroir. On peut la qualifier, avec une égale exactitude, de conscience totale ou de supra-conscience (Amadou, Parapsychol  1954 > Source Cntrl)

** L’acétylcholine intervient dans le contrôle des muscles par l’intermédiaire des terminaisons neuromusculaires et des viscères ou des glandes, et quelquefois des deux. C’est ainsi qu’elle intervient pour faire fonctionner certains organes comme le coeur, les glandes salivaires, les glandes sudoripares, la vessie, les bronches, les yeux, les intestins,…

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