Prière à Sainte Anne – Mère de la Sainte Vierge

By Catherine

Posted on 21 juillet 2013

Prière à Sainte Anne

Pourquoi dire une prière à Sainte Anne, mère de la Sainte Vierge et grand-mère de Jésus, qui s’apparente à Dana la Grande Mère ? En tout premier lieu pour l’harmonie familiale.

Besoin d’une aide supplémentaire ?

Sainte Anne, mère de la Vierge Marie, vous qui avez donné la vie à celle qui a enfanté le Verbe éternel.
Vous qui avez été la gardienne du trésor de sa pureté et qui avez contribué à le rendre digne des promesses de l’Esprit-Saint, obtenez-moi de Dieu la grâce d’une vive contrition afin que je mérite la rémission de mes péchés.
Faites, par vos prières que mon Rédempteur, Fils adorable de l’incomparable Marie, occupe seul mon esprit, remplisse seul mon cœur.
Que Lui seul soit ma joie, mon amour, ma vie et l’unique objet de toutes mes recherches afin que par l’intercession d’une Vierge Mère et les mérites d’un Dieu fait homme, je jouisse ici-bas d’une paix qui soit suivie de la paix éternelle.
Sainte Anne, priez pour nous afin que nous méritions que les promesses de Jésus-Christ s’accomplissent sur nous.

Ainsi soit-il.

Sainte Anne, Ana ou encore Dana

était déjà connue et vénérée chez nous en France, avant l’apparition du christianisme.
“Elle est ainsi évoquée, écrit Anne Bernet, selon les lieux et les circonstances, sous le nom d’Epona ou de Rigantona, sous le nom d’Anna ou de Dana, aïeule des dieux et des hommes… et parfois sous ceux de Belisima (la ‘Très Brillante’) ou de Rosmerta.

C’est encore sous une autre appellation, la ‘Vierge qui enfantera’, que la connaissent les druides du collège national de la forêt des Carnutes. Encore très populaire aux premiers temps du christianisme, la déesse a été convertie. Le sanctuaire de la ‘Virgo paritura’ correspond à la cathédrale de Notre-Dame de Chartres tant la croyance des Carnutes en la Vierge-Mère était propre à annoncer le mystère de l’Incarnation.

Les sanctuaires d’Anna sont devenus ceux de sainte Anne, aïeule elle aussi, mais du vrai Dieu, et que les Bretons nomment toujours ‘Mamm Goz’, grand-mère ou encore grande mère”.