symbolisme nombres

Pouvoir des nombres en accord avec nos pensés ou cadeau Divin

Pouvoir des nombres : En accord avec nos pensés ou cadeau Divin ?

Il faut, en préalable apporter une précision, le symbolisme et la force des symboles ont été initiés par les hommes qu’ils soient religieux, Mages ou philosophes.

Catherine d’Auxi Voyante, Médium et Cartomancienne répond  à toutes vos questions. Appelez maintenant le 02.96.38.04.52 ou

Finalement, il existe 3 « sortes » de nombres :

1)    Le nombre concret, celui du calcul  « cela vaut 50 € ».

2)    Le nombre abstrait, celui des mathématiques et des équations.

3)     Le nombre symbole qui est celui du religieux, des magiciens, du poète, de l’artiste. Si on dit « cela vaut pas 3 sous », on est dans le symbole. Pythagore a vu dans les nombres la substance même des choses et il les utilisait non seulement en mathématique mais sur plusieurs plans, en musique, en art (le Nombre d’Or), pour la divination… Dans ce 3° aspect, le nombre est un signe concret évoquant un rapport avec quelque chose d’abstrait et d’impossible à percevoir. A ce moment, on touche du doigt la capacité qu’a un nombre de désigner autre chose que lui-même. En outre, ils forment un ensemble, un système, un tout mais également une constellation avec d’autres symboles (les autres nombres) avec lesquels ils sont complémentaires, contraires, proches, équivalents.

Comme ce sont des hommes (Initiés, religieux…) qui sont à l’origine des découvertes relatives au symbolisme et à leur utilisation occulte, on peut considérer qu’il s’agit là d’un Cadeau Divin au même titre que le Verbe et ils sont en accord avec nos pensées, ou plus exactement à la source de nos pensées (puisque de nature symbolique).

Illustration de l’article : le manteau de la Vierge de Guadalupe au Mexique. les proportions de la tilma sont conformes au Nombre d’Or donc il s’agit là d’un Cadeau Divin.

Le 9 décembre 1531,  un peu au nord de Mexico, une jeune dame « éblouissante de lumière » apparaît à un indigène Juan Diego Cuauhtlatoatzin, baptisé depuis peu. Selon l’homme, elle se révèle à lui comme la Vierge et le charge de demander à l’évêque de faire construire une église sur le lieu même de l’apparition.

Le prélat, d’abord incrédule, demande au voyant d’obtenir de la Vierge Marie un signe. Celle-ci ne tarde pas à le lui accorder. Le 12 décembre, se montrant pour la quatrième et dernière fois à Juan Diego, Marie l’envoie cueillir des roses au sommet de la colline. Et voilà l’homme redescendant tout ébahi, sa tilma – manteau – remplie des plus belles roses qu’il ait jamais vues en pleine saison sèche ! Sous l’injonction de la Vierge, il retourne alors chez l’évêque, et ouvre son manteau devant les personnes réunies autour du prélat. Quelle stupeur pour tous de voir à cet instant s’imprimer miraculeusement sur la tilma une image représentant la Vierge, revêtue d’un manteau couvert d’or.

Après 475 ans, la tilma semble parfaitement conservée, alors que ce vêtement de pauvre fait en fibres de cactus aurait dû se détériorer en vingt ans (compte tenu de l’humidité ambiante).

La tilma fut examinée au fils des anspar des experts pour en vérifier la nature miraculeuse: ils certifièrent qu’il était impossible que l’image, tellement nette, ait été peinte sur la toile vu l’absence de préparation de fond, et  dans l’air chaud et humide dans lequel elle était conservée, elle aurait dû se détruire. En 1788, pour prouver expérimentalement ce fait, une copie fut exécutée sur le même type de tissu : exposée sur l’autel du sanctuaire, elle était ruinée après seulement huit années. Au contraire, l’image originale, après près de 500 ans, est encore substantiellement intacte.

En 1951, le photographe José Carlos Salinas Chavez déclara que dans les deux pupilles des yeux de Marie, fortement agrandies, on voyait le reflet de la tête de Juan Diego. En 1977, l’ingénieur péruvien José Aste Tonsmann analysa à l’ordinateur les photographies agrandies 2500 fois et affirma que l’on y voyait bien cinq figures : Juan Diego Cuauhtlatoatzin dans l’acte d’ouvrir son manteau, l’évêque Juan de Zumarraga, deux autres hommes (un desquels serait celui qui était auparavant identifié comme Juan Diego) et une femme. Au centre des pupilles, on verrait en outre une autre scène, plus petites, aussi avec différents personnages. En 1979, Philip Serna Callahan fit une série de photographies infrarouge. L’examen de ces photos révéla que, bien que certaines parties de l’image étaient peintes (elles pourraient avoir été ajoutée postérieurement à l’apparition), la figure de Marie était imprimée directement sur les fibres du tissu; seul les doigts des mains apparaissaient retouchés pour en réduire la longueur. Il découvrit également que la tilma conserve sans aucune explication la température du corps humain oscillant entre 36,6° et 37°.

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