psychoésotérisme

Illusion d’optique la paréidolie spirituelle

Illusion d’optique la paréidolie spirituelle

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Définition : La Paréidolie est une illusion impliquant un stimulus vague, ambigu, perçu clair, distinct et la capacité du cerveau humain à donner du sens par les mécanismes cognitifs. Les interprétations peuvent être dirigées vers du paranormal ou tout autre phénomène aléatoire. Le sujet qui perçoit une forme dans des nuages, des moisissures, des feuilles, des murs, des échographies, les rochers de la Côte de Granit rose ou d’autres supports, se donne une construction, une interprétation de ce qu’il voit par le biais de ressentis. J’ajoute à cette définition admise que c’est individuel aux motifs de son caractère comme de son intelligence à apprécier ce qu’il voit donc ce qu’il ressent.

L’illusion sauvage, c’est-à-dire non-organisée par un magicien ou un truqueur, est manifestement le plus souvent une construction hasardeuse qui est interprétée ensuite comme une impression structurale étonnante, émouvante, bizarre, comique… Vous en avez tous les jours à portée des yeux mais vous ne pouvez tout voir, faute de concentration. Il n’y a là, le plus souvent, rien de surnaturel même si vous pouvez légitimement le penser comme équivoque. La reproduction psychique est puissante, elle peut même, si on y croit, influencer la matière dans le but inconscient qu’elle s’adapte à vos énergies, à vos besoins. Quels sont-ils ? Un exemple : l’Humain n’a de cesse de vouloir être apaisé, conforté, dirigé, en clair a une exigence naturelle à recevoir des signes. L’Homme a toujours porté, déposé, au travers de l’Histoire,  ses réflexions comme ses décisions sur le parvis de semonces inattendues, douces, généreuses ou menaçantes, si possibles par le truchement de l’Au-delà, ce qui lui a constamment permis de bousculer un peu le convenu, la pesanteur terrienne, la norme intellectuelle, la gangue de la réflexion terrienne. Consciemment ou non, mêler ou entremêler ses énergies comme ses actes avec l’invisible, en de multiples conséquences, le valoriserait en d’inestimables hommages à la Déité. Rien de moins, pourvu que le mystère en soit la clé de voûte.

Au début de tout raisonnement, ces instantanés surgissant comme des prophéties là où on ne les attend pas, ont toujours été pensés à tort ou à raison, préfabriqués par la nature ou par l’Homme pour l’Homme sans a priori d’interventions divines. On peut légitimement insister là-dessus, sur cette frilosité de concevoir quelques explications définitives via une rationalité d’exigence, celle qui peut préserver d’une éventuelle folie. Somme toute et dans l’absolu, la déraison est un gouffre qui nait devant soi, il s’invite innocemment et y tombent ceux qui ont déjà depuis longtemps décidé de s’y sacrifier. Mais qui est le gouffre et qui est le perdu ? Qui avale l’autre ? Voilà bien une question majeure et scolastiquement, elle se tient dans le discours comme dans le questionnement. L’attraction est une girouette, pourrions-nous penser… Il suffit d’observer les modes puis nos comportements vis-à-vis de ces modes. Nous nous croyons fermes et définitifs alors qu’en fait, nous nous soumettons aux vents capricieux qui nous réclament. « Nos esprits contraints appellent toujours à l’aide » clamerait le Poète ! « Et ce, depuis la nuit des temps !… »… lui répondrait son alter ego.

Austwick, North Yorkshire.

Revenons au sujet qu’est la Paréidolie, parfois, ces photographies-impressions peuvent se révéler être effectivement des signes de l’Au-delà, de spiritualité dans la forme également, prenez le Saint Suaire de Turin en exemple. Le but ayant toujours besoin d’une cause, généralement, il s’agit au travers du phénomène de rassurer, d’informer, de guider le spectateur terrestre vers un chemin informatif nouveau, étonnant, dans le but simple de lui déclencher un sentiment puissant, une sur-émotion afin qu’il puisse raisonner d’une manière nouvelle puis, et pourquoi pas, changer, grandir, évoluer. L’étonnement est toujours un bon début vers la curiosité, cette pique de l’intelligence.

Ce n’est pas nouveau, cela a toujours existé, l’homme s’axe tout au long de son existence à partir d’une éducation, d’un ambient qui lui sont particuliers, c’est chemin de vie très balisé, or, il est parfois nécessaire que l’individu soit bousculé sur ses bases de certitudes amoncelées dès l’enfance, surtout, dirais-je, lorsque le scepticisme, garant sécuritaire jusqu’au maintien d’une jugulaire intellectuelle commune, se révèle pour lui, en définitive, une bride un peu trop équilibrante. Avoir de manière excessive l’esprit d’équerre peut se révéler être une règle bien contraignante.

L’appétence pour tout ce qui se présente est par conséquent un beau pied-de-nez vis-à-vis de la méfiance, en ce sens, qu’en situation, on ose aller plus loin, voir, découvrir, inspecter, fureter, une manière de rechercher la confrontation, de s’opposer, de se faire son propre avis. C’est chose importante puisqu’il y aura peut-être lutte entre l’observé et l’observable. C’est la vie et la mort entre la pensée de ce qui est et de ce qui n’est certainement pas. Nous devenons notre éducateur et c’est joyeusement transgressif. Lire un livre rigoureusement interdit est ou était même démarche…

L’Humain a donc besoin d’être bousculé, tout comme l’Au-delà et ses mystères ne s’interdisent rien non plus. Un signe est un signe, ce qu’il produit est sans doute bien plus impressionnant et important dans sa suite que dans sa structure de départ, sa découverte, son dévoilement. Au lieu de vous focaliser sur la tangibilité d’une bizarrerie, vous devriez vous pencher sur vos aspirations naturelles à penser autrement et pour cela, rien de mieux que l’inattendu, autour de vous, en vous, par vous et pour vous. Naît alors une expérience toute personnelle, profonde et imperceptible pour les autres. C’est de l’ordre de l’intime, de la réflexion intérieure, c’est un peu la photogénèse de l’esprit pour l’esprit, eh oui, nous parlons là, de pureté, peut-être absolue…

Et peu importe la manifestation physique, du moment que l’Eclairé soit chahuté, décontenancé. Ce qui compte tout comme en spiritualité, c’est bien de se sentir concerné, autrement dit et dans toute la puissance de ce mot, être le TEMOIN.

A partir de là, la personne privilégiée se retrouve seule face à elle-même, seule face à ses interrogations et elle est bien obligée d’aller loin et profondément en elle afin de trouver sa voie, sa source. Si les Voies sont impénétrables chez le divin, elles n’en sont pas moins à interpeller, n’a-t-on pas dit « frappez et il vous sera ouvert » ? Qui a dit que tout devait être ad vitam aeternam cloisonné ? L’Humain ! Certainement pas le Céleste. A ce titre, il peut vous héler lorsque bon lui semble, où que vous vous trouviez.

Voyez ce que vous voulez voir, soyez incrédules si vous le souhaitez mais c’est tout bonnement un luxe provisoire dont il ne faudrait pas abuser excessivement car un jour ou l’autre, dans cette vie-ci ou dans une autre, vous devrez abandonner ce petit confort, dans la douleur… ou non. Si les images nous regardent, c’est que nous parlons d’elles ou alors inversement, elles parlent de nous parce que nous avons loisir à les regarder.

Les yeux dans les yeux, une émotion profonde, mystique et mystérieuse, les mondes se superposent, s’entrecroisent et nous sommes au milieu de tout, comme d’habitude. Voir la Joconde par exemple, ne procure pas autre chose, on ressent à son contact avoir « rendez-vous » ou quelque chose comme cela ; indéfinissable et profond sentiment d’être à la bonne place pour un je ne sais quoi de rituel révérencieux avec une idole indéfinissable.

Et après ? Ensuite ?… A la boutique du Musée, forcément, acheter son image car posséder une image, c’est conserver et pourquoi pas, s’enrichir un petit peu… Nous pourrions dire que lorsque la richesse apparait, la pauvreté, elle, envahit tout le reste… Et au milieu, l’imaginaire, la folie et quelques vérités à partager… ou pas.

Ps : Les représentations imagées de cet article ne sont en rien des preuves, juste des témoignages d’apparitions soudaines forcément controversées et/ou inexpliquées. N’hésitez pas à partager vos propres expériences, les meilleures photographies seront affichées ici.

Riwall Llydaw Médium spirite

avec Catherine d’Auxi Voyante, Médium et Cartomancienne, auteur de l’article.

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